[Mission débutant] A la recherche de la tombe perdue...

* Un manteau noir. Un manteau noir immobile devant la grille d'un cimetière, en pleine nuit. C'est comme ça qu’aurait qualifié un observateur extérieur, en voyant Hédas. Le mage de la mort, attendait, statique comme un pierre, son compagnon elfique. D'ailleurs, il l'attendait depuis beaucoup trop longtemps à son goût. Luxyd aurait du être là depuis trente bonnes minutes. Et cela commençait sérieusement à l'énerver. Il n'allait pas poireauter ici des heures quand même ?! De plus, il avait terriblement envi de passer le portail du cimetière. Cette grille métallique noire, rouillée et fermée à clé, d'environs 2 mètres de haut sur 4 mètres de large, faisait rêver Hédas. Enfin, c'était plutôt ce qui se trouvait derrière qui l'intéressait. Un magnifique cimetière, qui devait être lugubre à souhait. Malheureusement, à cause de la pénombre ambiante, il était impossible de voir ne serrait-ce qu'une tombe. Ce qui faisait monter d'autant plus l'excitation du mage. En effet, l'aura qui émanait de cet endroit, appartenait sans nul doute au domaine magique d'Hédas. Et une telle présence de magie, surtout de celle là, ne pouvait signifier qu'une chose... des créatures diaboliques habitaient là. Peut-être des morts-vivants ?
Mais pour le moment, impossible de rentrer à l'intérieur si l'elfe n'arrivait pas ! Pour évacuer son exaspération montante, il s'écria, de sa voix sombre et lugubre, tout haut : *

- Bon sang, mais qu'est-ce qu'il fait !

*Une voix s'éleva dans son dos. Une voix forte et emprunte d'un sympathique timbre elfique, une voix qu'Hédas ne connaissait que trop bien. Luxyd était enfin arrivé! Après pas loin d’une demi-heure de retard, ce magicien aux grandes oreilles était enfin là! D'un même mouvement, le mage et son manteau tournèrent sur eux même, pour faire face au nouvel arrivant. Et comme ils bougeaient en même temps, l'intégralité de son corps resta caché sous le vêtement à la teinture sombre. Il releva pourtant la tête, tout en gardant soins de garder son capuchon dessus, pour que son compagnon puisse voir son visage. Et vue que celui-ci était d'une blancheur squelettique, il n'aurait aucun mal à le distinguer dans la nuit. Il ne sourie, ne saluât et ne montra aucun signe de bienvenu à l'elfe. Il se contenta juste de dire, en lui jetant un regard noir, ce qui était facile étant donné que ses yeux étaient de la bonne couleur : *

- Pas trop en retard... Si pour toi trente minutes, ce n’est pas énorme comme temps, alors oui te n'es pas en retard!

*Il se détourna ensuite, rapidement, de son compagnon elfique pour refaire face à la barrière. Il allait enfin pouvoir rentré et s'offrir les joie du cimetière. Même si allait devoir forcé le cadenas qui les séparait, lui et son but. Mais, ça ne serait pas un problème. Il parla, s'en dédaigner se tourner vers son interlocuteur :*

- Bon, si nous passons outre ton " grand sens de la ponctualité" , il faut entré maintenant. Je m’occupe de briser ce cadenas ou tu préfères t'en charger ? Choisit vite !

*Hédas ne releva même pas la remarque de son compagnon. Cela n'en valait vraiment pas la peine. Après tout, il n'était pas un nain, il n'avait besoin d'avoir toujours le dernier mot avec un elfe. Il ne releva pas non plus, son inintéressante proposition de détruire un cadenas à deux et à distance. A distance... Luxyd ne réfléchissait vraiment pas. Comme il est totalement impossible de détruire un verrou de cette taille, avec un simple bâton magique, et comme les deux mages n'avaient apparemment que des sorts de distance - normalement, car Hédas ne connaissait pas toutes les techniques de son confrère - il était impossible de le faire sauté, autrement ! Cela aurait été une bonne occasion de faire ravaler sa langue au magicien de la vie, mais il ne dit rien. Il se contenta juste de : reculer de quelques pas, regardé fixement sa cible métallique, faire apparaître deux sphères démoniaques dans ses mains et de les envoyer toutes les deux, en même temps, sur le cadenas. Le résultat ne ce fit pas attendre. Quand les sphères explosèrent au contact du métal rouillé, leurs énergies noires combinées firent complètement se dissoudre le cadenas. Ne prenant même la peine de regarder son compagnon, il lança :*

- Un piège ? Vous pensiez vraiment que le vérrou d'un " cimetière " serait, piégé ? Vous êtes paranoïaque mon cher confrère. Et en plus, s’il était magique, nous l’aurions détectés.

*Et il ajouta, avec un petit sourire ironique, invisible à cause de son capuchon :*

- Allez, je vous laisse la serrure maintenant. Mais attention, si les cadenas sont rarement piégés, il en est tout autre des serrures...

*Hédas répondit, le plus simplement du monde, à la réplique du l’elfe :*

- C’était purement ironique… tu devrais prendre des cours sur les subtilités du langage.

*Il le vit ensuite utiliser un sortilège. Il fut déçut. Même s’il n’attendait pas grand-chose d’un mage de la vie, et plus précisément de ce mage, il avait quand même espéré que le sort serait un peu plus… imposant. Comme ses propres incantations. Mais non, il ne vit juste que quelques petites étincelles – à moins que ce ne soit des éclairs ? – sortit du bâton blanc, et quelques secondes plus tard la serrure qui explosait de l’intérieur. Décidément, son « confrère » n’avait pas une magie très impressionnante, ou alors il la cachait très bien. Mais, sa déception s’effaça bien vite, quand il vit la porte s’ouvrir enfin. Et qui plus est, s’ouvrir dans un magnifique sons lugubre, qui ravit les oreilles de Hédas. Désormais, l’étendu obscure et hostile qu’offrait le cimetière était à sa porté. Il du réfréner une petite pulsion d’adrénaline, pour éviter se jeter la tête la première dans ce « Paradis ». Il se contenta d’avancer, d’un pas certes rapide mais pas hystérique, jusqu'à un mètre à l’intérieur ce lieu délicieusement sordide. Il s’arrêta ensuite et appela :*

- Bon, maintenant allons chercher la tombe de ce… Harrang. Suive moi et ne traîne pas ! Tu as beau avoir des yeux elfiques, moi j’ai passé 18 ans sous terre et dans une catacombe. Je serrais mieux m’orienter que toi. Allons, dépêchons !

*Suite à ces paroles, il marcha d’un pas ravi, vers l’intérieur du cimetière. La quête venait enfin de commencer réellement*

*Le mage serra fort son bâton d'ébène. Comment ce petit elfe ridicule, pouvait t'il ce moquer de lui ! Il osait rire de cette période si terrible de sa vie! Lui qui avait souffert pendant toutes ces années avec son "maître". Aurait t'il oubliait qu'il était son " père " adoptif ? Et en plus, il ce fichait de son haleine! Quoi que cela fût moins grave, étant donné que ce n'était qu'un de ses quolibets stupides. Mais son enfance... Il du se retenir, pour éviter d'envoyer dans la figure de l'elfe quelques sphère démoniaques et de le plonger dans une Zone de ténèbre. Cela aurait certes agréable et détressant, mais il ne devait pas gaspiller son mana sur un être comme lui. D'autant plus, qu'il commençait à ressentir que l'aura de cet endroit semblait devenir de plus en plus présente devant eux. Cela ne présageait rien de bon... Il se contenta donc juste de répliquer d'un ton froid, tout en continuant a marcher à coté de son compagnon qui l'avait rejoint :*

- Tes paroles ne font que montré le niveau de ta sottise. Je suis beaucoup plus apte que toi pour m'orienter ici, même si tes oreilles te font gagner quelques centimètres de plus que moi. Aurais-tu oublier qui ma enseigner ce que je sais ? Ton père aurait du t’apprendre le sens des réalités…ah non, c’est vrai j’oubliais. Il est mort avant d’avoir pu le faire…

*Tout en parlant, Hédas avait remarqué une tombe à coté de lui. Même s'il n'était pas nyctalope, ses yeux c’étaient habitués à l'obscurité, et il pouvait facilement discerner l'édifice mortuaire. Ce qu'il vit fut très intéressant. Malgré l'usure de l'épitacle, il put lire la profession du défunt. C'était un guerrier. Mais ce qui l'intrigua le plus, ce fut l'état du socle qui fermait la tombe. Il était complètement défoncé. Et apparemment, ce n'était pas depuis l'extérieur...*

*S'en était trop! Si l'elfe lançait une remarque désobligeante de plus, sur son passé, il risquait de se jeter littéralement sur lui pour l'étriper! Oui pour l'étrangler, cela dépendrait du mauvais goût de la plaisanterie. Tentant de retrouver son calme, il se servit de son " sceptre " magique comme déstresseur. Il le serra si fort, que le haut du bâton se mit à s'assombrir et à émaner une aura maléfique. Comme si les ténébreux, étaient crée à partir de ce point. Mais, Hédas retrouvant son calme, le sommet du bâton redevient normale. Pourtant, le mage pensa à une parfaite réplique pour son compagnon longue oreilles.*

Moi au moins, je peux penser !

*Il ouvrit la bouche pour la formuler, mais il fut brutalement interrompu. Un affreux, et magnifique, cri suraigu s'éleva dans le silence pesant du cimetière. Un cri de jeune fille, mais anormalement amplifié. Pourtant, ce ne fut pas le cri en lui même qui interloqua Hédas, il avait ouïe pire, mais la grande concentration de mort qui émanait de derrière une tombe. Sur son épitaphe, était marqué : " A notre cher, Hayrakinketal. Quelle repose en paix. ". Le mage sombre, ne fut pas surprit de voir le socle complètement détruit. Il avait déjà deviné ce qu'était était devenu cette " Hayrakinketal ". D'ailleurs, le superbe spécimen de zombie qui apparut derrière la pierre tombale, confirma ses pensées. Il avait bien affaire à un zombie, et récemment crée en plus! Le corps de cette petite fille, la taille de la créature ne laissait pas de doute sur son âge à son décès, était encore en putréfaction et toute la chaire n'avait pas encore disparut. Le sang de Hédas ne fit qu'un tour. N'écoutant même pas l'exclamation de Luxyd, il jeta immédiatement deux sphères démoniaques, avec ses deux mains, sur les deux lambeaux de chaire qui servait de bras au zombie. La réaction fut instantanée. Les cibles disparurent immédiatement. Ne laissant même pas le temps au zombie de crier, il l'acheva d’une autre boule maléfique dans la tête. La matière qui composait ces créatures, était décidément facilement destructible. Pourtant, le mage savait que ce n'était pas finit. La seule façon d'anéantir complètement un zombie était de le détruire en son entier ou de le brûler. Sinon, il bougeait encore. Mais, comme les deux bras et la tête de cette " fille " venaient d'être détruit, elle ne représentait plus aucuns dangers. Un zombie qui ne peut plus frapper ou voir, n'est plus qu'une loque qui rampe mollement parterre. C'est exactement ce qui arrivait à la créature que venait d'attaquer Hédas. D'une voix tout à fait normale, pour la situation, il dit :*

- Bon, ont continuent ?

*Avant de reprendre sa marche.*

*Ce fut un miracle. Hédas et Luxyd ne s’étaient pas lancés de mauvaises plaisanteries depuis une bonne dizaine de minutes. Le temps qu’ils auraient passer à se réprimander mutuellement, ils le passèrent à marcher. Et, ce fut une bonne chose. Cependant, leur paisible randonné sur chemin boueux devait bien ce terminé. Et bizarrement, ce ne fut pas par une vacherie de l’elfe. Non, c’est un deuxième zombie qui en fut à l’origine. Il avait beau être bien plus grand que leur première adversaire, il était également dans un état plus avancé de décomposition. Quelques mois supplémentaires, et il passait à l’état de squelette. Malheureusement pour lui, le magicien de la mort ne l’entendait pas ainsi. Il prépara une de ses fameuses sphères dans sa main droite, celle qui ne tenait pas son bâton, et s’apprêtait à l’utiliser. Mais, il fut devancé par son compagnon, qui grilla littéralement leur ennemi sur place, à coup d’eau et d’électricité. Faisant disparaître son sortilège de sa main, Hédas ne pu s’empêcher d’être étonnamment surprit par la prestation de son confrère. Il ne s’attendait vraiment pas, à ce qu’il puisse utiliser un tel sort. Mais, il ne lui dit pas. Il aurait préférer être métamorphosé en hobbit manchot et estropier, plutôt que voir ne serait-ce qu’une lueur de satisfaction dans ces yeux. Ils continuèrent donc à marcher, sans échanger une seule parole.*

*Une vintaine de mètres plus loin, ils arrivèrent à une intersection. Les chemins qui partaient vers la droite et vers la gauche, étaient aussi délabrés que celui où ils étaient. Mais, la route qui continuait tout droit, elle était dans un état correct. Bon, on était loin du chemin original, mais il y avait encore des pierres plates dessus. De plus, cette direction continuait encore quelques mètres et s’arrêtait juste devant une tombe. Et quelle tombe ! Elle était entièrement en granite noire et les inscriptions gravées dessus, étaient encore parfaitement lisibles… enfin presque. Sans compter, qu’elle était d'une taille assez conséquente et totalement intacte. Assez grande, pour contenir au moins 3 corps humains ! Un tel édifice, devait certainement être suffisamment solide pour retenir, même le mort-vivant le plus bornés ! Sans même prendre le temps de consulter Luxyd, Hédas s’avança sur le chemin devant lui.*

*Quand il fut arrivé aux pieds du mini-tombeau, le mage essaya de lire le nom de la victime. Un certain M…Harra… quelque chose, le reste étant recouvert de lierre. Harra… cela ne serait-t-il pas le début du nom de l’homme qu’ils recherchaient ? Ne réfléchissant pas, il monta directement sur la tombe, sans remarquer les nombreuses petites fissures qui la jalonnaient. Il poussa le lierre sur le coté pour enfin lire : « Mme.Harrailit, morte à 99 ans. Qu’elle repose en paix avec ses chers : Rex, Médor et Rufus. ». Raté, c’était trop beau. Il se retint de justesse, évitant ainsi au socle un piétinement de pieds frustré. Cette tombe appartenait à une vieille femme qui semblait s’être enterré avec ses…. chiens, vu les autres noms inscrits sur la pierre tombale. Rien d’intéressant. Il s’apprêtait à repartir, quand il sentit des vibrations sous ses pieds. Il baissa la tête. Cela venait du socle. Il remarqua enfin les petites fissures.*

Depuis quand, fait t’on des tombes fissurées…. ?

*La vérité le frappa comme un coup de point. Il n’eut que le temps de descendre du la tombe et de reculer de quelques pas, avant que le socle granitique ne vole en éclat. Cet édifice avait du résister vaillamment et pendant longtemps aux assauts de ses prisonniers, mais il ne pouvait tenir éternellement. Et manque de chance, Hédas venait d’arriver au plus mauvais moment. Du trou béant qui venait de ce créer, trois énormes formes sortir. Elles se tenaient sur quatre pattes et avaient l’air de tout, sauf d’êtres humains. Les chiens venaient de sortirent. Bizarrement, la femme ne les rejoignit pas. Là encore, la vérité apparut à Hédas. La pauvre, n’a pas du être pervertit assez vite, et ses cher toutous ont du… se servirent de son cadavre comme casse-croûte. Donc, désormais le mage se trouvait devant trois molosses squelettiques, au sens propre, avec un air très affamés. Hédas pointa son bâton devant lui et cria à son coéquipier : *

- Que la fête commence !

*Comment avait t’il pu être aussi naïf ? Si Hédas aurait prit le temps de vérifier l’aura de cette tombe, il aurait certainement remarqué l’anormale concentration d’énergie maléfique à cet endroit. Et surtout, c’était illogique que tout le cimetière soit maudit et pas ce lieu. De plus, il a été stupide de croire qu’un tombeau, même en granite, pourrait arrêter un mort-vivant déterminer. Pour une fois, il devait bien l’admettre, c’était lui qui avait fauté et pas son compagnon. Chose étonnante d’ailleurs. Mais ça, le mage sombre se gardera bien de l’avouer à son confrère elfique. Pour le moment, il avait un autre souci. Où plutôt deux soucis, ce manifestant sous la forme d’énormes chiens squelettes affamés, le troisième ayant été réduit à l’immobilité par l’elfe. Ce qui d’ailleurs, était bien futile. Comme ce cabot était un mort-vivant, il ne lui faudra que « quelques » dizaine de centaines années pour arrivé à ce défaire de sa prison de glace. Où moins, si un nécromancien passait par là. Comme la seule façon de tuer un squelette, était de lui fracasser le crâne et de réduire son ossature à néant – ou de le séparer de son envoûtement maléfique -, l’elfe n’avait fait que retarder l’inévitable.*

*Cependant, comme le deuxième molosse lui faisait face, il ne porta pas plus d’attention à la statue de glace macabre. Avant qu’Hédas n’est pu lancer un seul sortilège, son ennemi sauta sur lui d’un bond prodigieux. Mettant rapidement son bâton devant lui comme bouclier, il stoppa l’attaque. Enfin stoppa… disons plutôt, qu’il évita les crocs de la bête qui vinrent se planter dans son sceptre. Car, la masse de la créature était tellement grande, que son poids renversa Hédas sous le choc. Le pauvre magicien, se retrouva donc allongé sur le sol avec un horrible chien, tenant son bâton magique en tenaille entre ses dents, sur le ventre. Une bien mauvaise posture donc. Pourtant, le mage souriait. Et son sourire, avait quelque chose d’inquiétant. Même le molosse s’en rendit compte, mais il était déjà trop tard pour lui. Hédas lui jeta un dernier regarde méprisant, avant de prononcer une formule. Une formule courte et simple, dans un sombre langage à la consonance désagréable. En apparence, il ne se passa rien, pourtant le sortilège commençait à opérer. Dans un geste puissant, Hédas poussa le squelette sur le coté et se releva rapidement. Étonnamment, il avait laissé son bâton dans la gueule du chien. Cette action s’expliqua une seconde plus tard. Le bâton magique fut recouvert d’une aura, parfaitement visible à l’œil nu, d’une noirceur effrayante. S’il avait un moyen de noircir encore plus le bois qui composait l’objet, l’aura l’avait trouvé. Mais outre ce curieux phénomène, le sort avait également en quelque sorte… maudit le bâton. Et le mort-vivant fit les frais de cette malédiction. L’aura se propagea du bâton à la bête – qui en fut totalement recouverte en une fraction de seconde - en utilisant ces crocs qui étaient restés plantés dedans. A peine cela fut t’il fait, que le monstre fut parcourut de nombreux tremblement. Son ossature se craquela, sa tête ce fissura. Et au finale, l’ensemble de son corps explosa en poussière. Les dents ayant disparut du bois, l’objet ce reconstitua. Redevenant ce qu’il avait été avant l’attaque. Quand l’aura ce fut dissipé, Hédas ramassa immédiatement son bâton, le molosse avait beau être détruit, il en restait un troisième. Tout ça avait duré cinq secondes.*

*Quel était ce sortilège, qui a réduit en poussière l’agresseur du mage ? Ce n’était rien d’autre qu’un simple sort de protection. Le « père » d’Hédas, l’avait ensorcelé de telle sorte que, si on venait à lui voler, il n’ait cas prononcer une simple formule pour que son bien absorbe immédiatement l’énergie vitale de celui qui le tenait à ce moment là. Efficace et rapide. Et en plus, ce qui n’est pas rien, le bâton utilisait l’énergie absorber pour se restauré. Pratique donc. Si seulement son maître avait pensé à l’utiliser, quand Hédas s’en était emparé, il n’aurait peut-être pas connu une fin si… tragique.*

Pendant que Luxyd reprenait tranquillement, bien que rapidement, son bâton, Hédas tomba à terre sous le poids du deuxième chien. Mais très vite, il se servit de son bâton d'une façon étrange bien qu'efficace pour détruire son ennemi. En effet, le chien tenait maintenant le bâton du mage noir dans sa gueule, tout en étant sur Hédas, une position très critique. Par un gros effort, le sorcier se releva, après avoir prononcé quelques paroles inconnues. Et le fait qu'il veuille s'éloigner du molosse était fort compréhensible. En effet, celui-ci était entouré d'un halo noir, imitant ainsi le bâton. Un petit peu comme si l'animal s'embrasait dans les ténèbres. Et c'est d'ailleurs ce qu'il se passait, puisque le squelette explosa dans un petit bruit d'os craqué.
La scène n'avait duré qu'une demi-douzaine de secondes, et pourtant le troisième ennemi aurait très bien pu attaquer Hédas. Et pourtant non. Non, le mage noir resta tranquille, si on pouvait appeler tranquillité les secondes qu'il venait de vivre. Et ce n'était pas par chance, mais plutôt parce que Luxyd s'était jeté rapidement sur le dernier chien, pour la simple et bonne raison qu'il allait attaquer Hédas.
L'elfe tapa de toutes ses forces plusieurs fois sur le squelette, parvenant à briser quelques os, assez pour avoir le temps de se relever et de dominer le chien.
Maintenant, il murmurait une formule du bout des lèvres, avec désinvolture.

- Llagulaguz...

Le bout de son bâton blanc s'illumina un bref instant, avant de se glacer, émettant quelques fumerolles dues au froid intense qui se dégageait de l'objet magique. Et, le plus naturellement du monde, Luxyd donna un petit coup au troisième chien qui se glaça instantanément.
Mais il ne resta pas longtemps sous cette forme, et rapidement la glace commença à fondre. Mais elle emmenait avec elle le corps du chien, le réduisant à un état liquide... L'animal était lui-même en train de fondre.
Etrangement, ce n'était pas la seule chose qui lui arrivait. En effet, l'elfe n'avait pas été le seul à attaquer le dernier squelette. Hédas s'y était mit aussi.

*Enfin Tranquille. C’est ce que pensa Hédas en voyant le dernier mort-vivant foncer sur lui. En perdant l’intégralité de sa matière organique, le pauvre molosse était devenu complètement stupide. Pourquoi l’attaquer lui, alors qu’il venait de complètement désintégrer son congénère ? S’il n’aurait eut qu’un seul brin d’intelligence, il aurait chargé l’elfe. C’était moins dangereux pour lui, son compagnon ne transformant quand statue, et cela aurait en plus fait plaisir au mage noir. Mais non, il fonçait aveuglément sur lui. Bon d'accord, il venait juste de se relever et le monstre n'était cas 5 mètres de lui, mais il aurait pu riposter... après avoir subit sa charge. Mais, son "ami " grandes oreilles intervient. Il c’était littéralement jeté sur le molosse et était entrain de le ruer de coup. Cela était indigne d’un magicien ! L’elfe n’était pas guerrier à ce qu’il sache ?! Cette façon de faire était tellement… primaire. Même si cela à éviter au mage sombre un autre combat, la magie aurait été plus appropriée.*

*Heureusement, le mage de la vie en fit usage. Avec son bâton blanc – d’ailleurs, Hédas pensa que cette couleur était parfaitement inappropriée pour passer inaperçu dans un cimetière sombre en pleine nuit – il invoqua une sorte de sortilège des glaces. Et avec une désinvolture complète, il l’applique au monstre qui… ce changea en glace. Cette fois, le mage ne put retenir une exclamation de résignation. Son camarade aurait t’il été sculpteur dans une autre vie ? Comment pouvait t’il imaginer battre un être maléfique en le gelant… l’homme arrêta de suite ses mauvaises penser. Pourquoi ? Et bien, il venait tout simplement de voir le chien fondre devant ses yeux. Finalement, l’elfe n’était peut-être pas si empoté que ça, enfin… ce sortilège était quand même long à détruire ! Préférant abréger la mort du monstre – non pas par compassion, mais par ennui – quand celui-ci eut fondu à moitié, il lança une de ses fameuses sphères. Quand la boule maléfique toucha les restes du squelette, il vola en éclat, totalement désintégré. Les os fragilisés par le gèle, avaient très facilement cédés sous la puissance de son sort.*

*Maintenant que tous leurs adversaires étaient morts, Hédas se tourna vers son confrère, le visage cacher dans sa capuche. Il restait un dernier problème à régler. Il s’adressa à lui, d’un ton un peu moins sombre que d’habitude :*

-Bon combat, je ne pensais pas que tu connaissais de bons sorts d’attaques. Cependant, tu devrais éviter la sculpture sur os…

*D’un geste désintéressé, il envoya une autre sphère démoniaque, mais cette fois vers le premier chien, qui était resté gelé tout ce temps. Le sort frôla– exprès ? – de très près Luxyd, avant de venir fracasser le molosse, le transformant en puzzle d’os glacé. Sa besogne effectuer, il reparla à son coéquipier :*

-… Ce n’est pas efficace et tu ne fais que rejeter la bête aux générations futures. Bon, continuons.

*Hédas rebroussa aussitôt chemin. Quand il fut revenu au croissement, il attendit l’elfe. S’il devait choisir entre la droite ou la gauche, autant avoir son avis.*

*Quand il entendit la réplique de l’elfe, Hédas attendit tranquillement qu’il arrive jusqu’aux croisements, pour répondre le plus naturellement du monde :*

- Non, je me fiche totalement du bien d’autrui. Je pensais juste aux innocents nécromanciens, passant par-là, qui risqueraient de se faire dévorer leurs cobayes par ce chien revenu à sa pseudo-vie. Ca serait dommages pour eux, plus de victimes à torturer et à zombifier.

*Apparemment, son compagnon ignora totalement sa réplique. Car celui-ci, s’avança vers la droite – donc vers la gauche, s’ils n’étaient pas aller directement tout droit - sans dire un seul mot. Préférant ne pas ce fatiguer à contredire, ou même à chercher un argument pour contredire, la décision de son camarade elfique, il le suivit. Pendant le trajet, où ils virent plusieurs morts-vivants, ils discutèrent tout les deux joyeusement. Parlant de tout :*

- … mais, il y en à partout !...

*Et de rien :*

- … t’es qu’un bon à rien !…

*Après une heure de marche, le mage noir aperçut une forme ce mouvez dans l’ombre. Cette forme n’avait pas vraiment un air menaçant, mais plutôt un air terrifié. Comme si, c’étaient eux qui lui faisaient peur ! Hédas pensa d’abord à un simple fossoyeur, le bougre les ayant prit pour des zombies, il était logique qu’il ait très peur. Pourtant, le magicien oublie tout de suite cette hypothèse. Que ferait un honnête citoyen, même croquemort, à cette heure-ci, si loin dans un cimetière ? Il pensa alors à pleins de possibilités : apprenti-nécromant, visiteur égaré, pilleur de tombe, nécrophage,… ? Non, rien ne collait. Il ne resta plus qu’un choix : un zombie. Mais pourquoi un zombie aurait t’il peur de personnes vivantes ? Pour en avoir le coeur net, Hédas sortit du chemin et se dirigea vers la silhouette. Celle-ci recula, quand elle le vit approcher, mais il put quand même voir qui était ce mystérieux invité. Ce qu’il vit le remplit de… pitié. Ce qui ce trouvait devant lui était… une maman zombie avec son bébé dans se qui lui restait de bras. Apparemment fraîchement ramené à la vie, car elle possédait encore des émotions humaines… comme la peur. La pauvre créature tremblait comme une feuille, en tenant sa loque de bébé. Fatigué par cette vision ridicule, il réagit en conséquence. Une sphère démoniaque vient frapper la zombie, en passant en plein sur le rejeton. L’explosion de chairs putrides qui s’en suivit, fut mémorable. La morte vivante se retrouva parterre, enfin plutôt sa tête, au milieu des restes pourris de son bébé et de son… propre corps. Elle se mit à hurler, d’un horrible cri perçant remplit de douleur, mais ce fut très court. Non pas parce qu’elle arrêta volontairement, mais par ce qu’Hédas venait de lui écrabouiller la tête, avec son pied.*

*Revenant sur le chemin, en essayant d’enlever les restes de tête de sa chaussure, le mage lança à son confrère, d’un ton froid et indifférent :*

- Rien d’important, continuons.

*Et voilà, encore des reproches. Mais qu’avait t’il cet elfe à contredire tout ses actes ? Il n’avait fait «que » massacré un femme et son enfant, pas encore totalement zombifiés. Qu’est-ce qu’il aurait pu faire d’autre ? Les désenvoûter, pour qu’ils ne souffrent pas et reposent en paix ? Certainement pas, c’était tout bonnement… trop long à faire et Hédas n’était pas d’humeur à attendre. Il valait mieux les détruirent tout simplement. Bon d’accord, c’est vrai que maintenant ils risquent de ne jamais trouver le repos éternel et que leur mort a été violente, mais au moins cette méthode était rapide. Sanglante, mais rapide. Il réplique donc, avec un calme et une froideur terrifiante :*

- Je n’ai pas à me justifier ! Si je veux tuer, je tue un point c’est tout ! Et, ce n’est pas moi qui ait une haleine putride, mais toi qui souffle trop fort vers ton nez !

*Sur ces paroles enjouées, les deux magiciens continuèrent leur obscure randonné. Après dix minutes de marche, dans un silence pesant, ils arrivèrent en vue d’une sorte de… construction, mais faite à la barbare. Quand ils furent arrivés devant, ils purent discerner qu’il s’agissait d’un tombeau. Et, détaille important, le piédestal qui ce trouvait en haut de son escalier, pourri, était totalement maculé de sang coagulé. Et depuis peu, apparemment. De toute évidence, il y a du avoir une petite sauterie ici. Dommages, s’ils étaient arrivés plutôt, Hédas aurait pu… participer. Malheureusement, ce n’était pas le cas. Mais, il avait quand même une chance de s’amuser un peu tout de même. Le mage noir, regarda donc l’aura du lieu. Il faillit pousser un cri de joie, quand il sentit l’incroyable concentration d’énergie maléfique qui émanait du tombeau ! Ils devaient être remplit de morts-vivants ! Un beau combat en perspective. Il allait avertir son compagnon, quand il le vit commencer à monter les marches. Il se ravisa, pourquoi l’avertir qu’il allait tomber dans un « nid » de monstres ? Ca aurait enlevé tout le plaisir, il n’aurait pas vu la figure de l’elfe, comprenant son erreur. Il se contenta juste de reculer de quelques pas et de se mettre en position de combat. Il manqua d’éclater de rire en voyant l’elfe déraper sur le sang. Cependant, il ne se retint pas quand son confrère se rendit compte de ça bourde, concernant les zombies et le nom de la famille. Il venait exactement de faire comme lui, avec les chiens squelettes de toute à l’heure. Et son fou rire augmenta, quand l’elfe se fit soulever dans les airs, par le cou, par la première zombie qui venait d’apparaître. Quand il se calma enfin, le visage de son «ami » était devenu tout bleu et… deux enfants, fraîchement pervertis, marchaient vers lui, le mage sombre. Redevenant sérieux, Hédas réfléchit. Devait t’il s’occuper des minis-zombies, qui l’attaquaient, ou sauver l’elfe d’une mort par asphyxie toute proche ? Le choix était difficile. Non pas qu’il serait content de voir le magicien de la vie s’en sortir, mais il pouvait être utile à l’avenir. D’un autre coté, ses agresseurs étaient proches. Proches…proches… mais bien sur ! Une idée vient à son cerveau. Hédas pouvait très bien faire les deux ! Il leva son bâton en l’air, jeta un regard sadique aux zombies et prononça une formule obscure. Après l’incantation, très courte, une sorte de nuage noir sortit du sommet du bâton. Il enveloppa d’abord le mage noir, puis les zombies. A la fin, un dôme d’une noirceur absolu c’était formé tout autour du lanceur de sort. Zone de ténébreux était lancé. Désormais, même Luxyd ne pourrait voir ce qui se passait à l’intérieur. Tout de suite après, une sphère démoniaque jaillit du dôme et alla s’écraser sur la tortionnaire de l’elfe. La faisant lâcher sa prise et, accessoirement, lui faisant perdre la tête… au sens propre.*

*Comment Hédas avait t’il put viser la zombie, alors qu’il était maintenant dans le noir totale ? Tout simplement, car son sortilège ne l’affectait pas. Pour lui, c’est comme si rien ne c’était passé, mais les zombies eux… subissaient pleinement les effets.*

*L’obscurité. Une totale obscurité régnait autour des deux enfants zombis qui avaient osés attaquer Hédas. Ils ne voyaient absolument rien. Une araignée géante de cinq mètres de haut pourrait se trouver devant eux, qu’ils n'en sauraient rien. Ce qui était tout le contraire du mage, car lui voyait parfaitement les deux monstres, totalement désorientés par le sortilège qui venait de les engloutir. Les deux bougres maléfiques, se mirent à agiter lamentablement les bras et à se déplacer dans tout les sens, pour essayer désespérément de localiser le thanatomage. La situation aurait sûrement fait rire aux éclats Hédas, si cette n’action n’aurait pas donner un indice phonique, à ces adversaires, de sa position actuel. Il se contenta donc juste, après avoir sourit, d’invoquer une de ses fameuses sphères dans chacune de ses mains. Et d’un geste presque lacé, il les envoya en plein sur ses ennemis. Mais, pour une raison inconnu, ils ne se détruirent pas complètement. Seulement les parties visées (c’est-à-dire le bras pour l’un et la jambe pour l’autre) se dissolvèrent dans un bruit horrible. Ne prêtant gère attention aux cris de douleur des deux cadavres ambulants, Hédas fit soudain de grand moulinette avec ses bras. Cette drôle de réaction aurait pu être comique, si à chaque passage le sorcier n’avait pas envoyé une sphère démoniaque. Après qu’une bonne dizaine de ces orbes maléfiques eurent été lancés, il ne restait plus des deux zombis qu’un petit tas de bouillies dissoutes. Même si certaines de ses sphères étaient malencontreusement sortit du dôme, le résultat plut à Hédas. Faisant disparaître son dôme - qui aurait pu tenir encore quatre minutes, mais qui n’était plus nécessaire à présent – le mage regarda plus attentivement la zone de combat. Apparemment, certains des orbes perdus avaient touché des zombis et Luxyd, libéré de sa putride compagne, avait liquéfié quelques adversaires.*

*Mais les nombreux cris, qui sortirent du tombeau, révélèrent à Hédas que le plus gros de la famille arrivait. Le mage noir émit une sorte d’exclamation d’ennui profond. Non pas qu’un bon combat ne l’aurait pas bouté, mais à quoi bon affronté toujours le même type d’ennemi ? Qui plus est, un ennemi très facilement destructible. C’est pourquoi, Hédas réfléchit au moyen le plus rapide d’un finir avec cette racaille des tombeaux. Une idée lui vint soudain. Pourquoi ne pas faire s’effondré l’entré du tombeau ? Comme ça, il écraserait quelques zombis sous les pierres, bloquerait les autres et pourrait détruire ceux qui auraient eu le temps de passer avant l’effondrement. Oui, cela était très bien comme idée. Se rapprochant rapidement de son compagnon elfique, il lui glissa tout aussi rapidement à l’oreille :*

- Et si nous aidions ces choses à fermer boutique ?

*Comme pour illustrer ses paroles, Hédas envoya une sorte d’éclaire noire sur les fondations de la monumentale porte d’entrer – défoncée – du dit tombeau. L’éclair, eut l’effet de fissuré entre plus le bas de la porte. Et, chose étonnante – mais c’était bien là l’effet du sort – les fissures montèrent lentement dix centimètres plus haut du le lieu d’impact, avant de s’immobiliser dans un grésillement d’éclairs sombres.*

- Alors, d’accord ?

*La réaction de l'elfe ne se fit pas attendre. D'abord - mais cela, il fallait s'en douter - des brimades. Ensuite, son compagnon avoua que son idée était constructive, dans le sens où elle permettait d'enfouir l’intégralité des zombies, squelettes et autres cochons morts-vivants, sous un amas de granit. Et pour finir, il passa à l'action. Il sortit son fichu bâton blanc et commença sa besogne. Avec grâce et volupé - elfique - cinq sphères de magie gelées sortir du bâton, à intervalle régulier, avant d'aller pathétiquement s’écraser sur la porte. Loin d'être spéculaire, leurs actions eurent quand même l'effet de fragiliser l'édifice en le fissurant. Mais, il était bizarre qu'elles ne soient pas totalement dissoutes après le choc. Peut-être l'elfe avait t'il totalement loupé son sort ? C'était fortement probable, en tout cas pour Hédas.*

*Quand l'elfe parla, le mage noir resta perplexe. Le milieu ? Il voulait parler du centre des portes? Non, impossible, elles étaient ouvertes. Il ne pouvait pas être stupide à ce po… quoi que ? Non, non. Dans une situation pareille, même l’idiot du village serait lucide. Mais, de quoi parlait t’il alors ?... Hédas prit quelques secondes de réflexion, durant lesquels 3 zombies armés d’os passèrent le seuil de la porte. Il les remarqua, mais ne s’inquiéta pas. Il trouva enfin la réponse. L’elfe parlait du centre des intervalles crées par les boules de glaces ! Immédiatement, le mage réagit. D’un geste ample de son bâton – accompagné de quelques mots magiques maléfiques – le magicien envoya, en même temps, 4 sphères d’acide sombre sur sa cible. Les orbes, frappèrent leur cible avec une élégance démoniaque. Dès qu’elles eurent un contact avec le granit, leurs acides maléfiques commencèrent à le ronger. La roche fut si entamée, que le portail commença à se fissurer d’un peu partout et à trembler dangereusement. Malheureusement, il tenait encore debout. Luxyd allait devoir achever le travail… Hédas lança :*

- Va y, termine !

*N’attendant pas sa réaction, Hédas envoya deux sphères démoniaques sur 2 des trois zombies armés d’ossement. Ils furent détruits sur le champ…*