[validé]Shinryu Kôsuke

Kôsuke :

Nom : Shinryu

Prénom : Kôsuke

Âge : 17 ans

Profil : jeune homme grand, les cheveux noirs longs, des yeux gris brillants, et un visage assez pâle, son allure est pour le moins impressionnante.
Il porte toujours une longue et fine lame à sa ceinture noire, qui semblait assortie à ses yeux perçants, et la lame de son épée, à n'en pas douter, était aussi affûtée que l'esprit perçant de son propriétaire.
Il en faisait aucun effort pour impressionner les autres ; cela lui était naturel, comme un leader qui sait s'occuper spontanément de ses partisans.
Orgeuilleux et mystérieux, ce personnage est parfois très attrayant, et souvent pas très fréquetable.

race : humain

statut : méchant

Taille/poids : 1m85 pour 73 kg

Qualités/défauts : plutôt intelligent et raffiné. Parfois froid, parfois gentil et attentionné, face à des personnes méprisables il peut se montrer terriblement orgeuilleux, voire à la limite du narcissisme, Il ne frappe pas un homme au sol, sans arme et qui s'avoue vaincu en implorant sa pitié.
En duel, il refuse toute aide catégoriquement, et ne refuse jamais ni un duel ni un défi de combat.
La vie des autres passe avant la sienne pendant un combat. Il ne bat jamais en retraite, sauf si la vie de ses proches est en danger, et ne craint en aucun l'adversité ni même la mort, et il rendra toujours un hommage à un adversaire qu'il juge de valeur. Quelqu'un qui se fait attaquer déloyalement, par plus fort que lui ou plus nombreux doit être aidé coûte que coûte. Pour lui, c'est une question d'honneur.


Histoire : La jeune Yakumo Shinryu vivait avec son frère Kenji, dans un bourg à l’écart de la ville de Meltalas. Ils habitaient une petite maison de bois et de paille en bordure du village. Lors d’une belle journée d’automne, alors qu’ils travaillaient dans le champ attenant à la maison, Yakumo remarqua à l’horizon une fumée noire qui s’approchait : le signe d’une attaque de Démons. Ils rentèrent précipitamment mais l’une des créatures infernales était déjà là. Kenji s’empara d’une bêche et se rua sur le Démon qui le tua net en lui transperçant le cœur de sa main. Yakumo horrifiée voulut s’enfuir mais le Démon la retint par les cheveux et la projeta contre le mur. Puis il s’approcha et la regarda en souriant. Quand il s’accroupit devant elle, il commença à lui caresser le visage mais la jeune femme le repoussa avec toute la force qui lui restait. Contrarié, le Démon arracha sa robe et la viola à même la table.

Yakumo enterra son frère près de la maison. La sépulture terminée, elle s‘empara d‘un couteau qu’elle mit contre sa gorge afin de le rejoindre, mais le courage lui manqua et elle s’effondra de chagrin sur la tombe. Après avoir pleuré toutes les larmes de son corps, elle se releva, fit une prière et se remit à travailler pour oublier. Au cours des mois, le travail de la terre lui devenait de plus en plus pénible et elle cessa toute activité au septième mois de sa grossesse. Ne s’alimentant que de pain et d’eau, elle vécut ainsi recluse. Ses seules visites étaient celles d’un ami à qui elle avait dit que l’enfant qu‘elle attendait était de Kenji. Ce détail, qui était le seul mensonge qu’elle avait trouvé, paraissait tellement improbable qu’il en intriguait tout le village. Puis vint le jour de l’accouchement. L’ami alla chercher le docteur et ils revinrent en courant. Ils furent horrifiés de voir sur le bras du bébé un pentacle cerclé : un signe infernal. Avant qu’ils puissent lui demander une explication, Yakumo avait rendu l’âme. Le dernier mot qu’elle prononça fut Kôsuke, qui devint le prénom de l’enfant mâle qu’elle avait mis au monde.

Sa famille morte et le pentacle sur son bras furent les deux facteurs qui influencèrent la décision du doyen du village. Kôsuke Shinryu, le fils du Démon, fut envoyé à Meltalas chez une tante, sœur de la défunte Yakumo, prénommée Tenma. Cette dernière, bien que connaissant son histoire, l’accueillit à bras ouvert. Mais son mari, Kondô Kinjima, devenu après son mariage un alcoolique violent, n’était pas du même avis. Chaque fois qu’elle embrassait son neveu, il la frappait violemment. Kôsuke vécut ainsi jusqu’à ses six ans. Mais le jour de son anniversaire, alors qu’il le fêtait caché dans sa chambre avec Tenma, Kondô, ivre mort, les surprit. Il entra alors dans un excès de rage et battit sa femme à mort. Elle s’effondra dans les bras du garçon qui la regarda mourir impuissant. Quant il se rendit compte de ce qu’il venait de faire, il accusa Kôsuke de la mort de sa femme et le frappa avec un bâton, sans que le jeune garçon ne comprenne pourquoi. Sa tante souriait toujours quand on la battait, comme pour conjurer la souffrance. Alors il se mit à sourire lui aussi. Cependant cela eut pour effet de redoubler la violence des coups.

En deux mois, l’homme s’était remarié avec une femme, Aochi, qui avait déjà deux enfants, un fils plus vieux, Ginko, et une fille plus jeune que Kôsuke : Misa. Ce dernier était devenu l’esclave de la famille et faisait les tâches les plus dures et dégradantes. On le battait souvent, même pour des causes imaginaires ou futiles, mais il avait appris à le supporter. Quand son oncle constatait que ses coups ne suffisaient plus, il redoublait de vigueur et se faisait aider par Ginko. Mais Kôsuke ne bronchait pas, et subissait les brimades en silence. Depuis la découverte de son pentacle cerclé, il n’était même plus considéré comme un humain. On le privait souvent de nourriture car : « les êtres inférieurs n’ont pas besoin de manger. » .

L’année de ses dix ans, on l’accusa à tort du vol d’un poulet. Sa Aochi avait glissé à son insu un poulet mort dérobé à un voisin pour le faire condamner. Bien que le voisin n’en fit rien, car il ne connaissait que trop bien la situation du garçon, on décida quand même de châtier Kôsuke. Ginko proposa qu’on le tue, et cette sentence fut approuvée par le reste de la maisonnée. Alors qu’il jouait insouciant dans la cour, ils s’approchèrent de lui avec des épées et des couteaux. Aochi demanda : « Que fais-tu ?
- Je joue avec ma toupie, maîtresse.
- Et bien profites-en car nous avons décidé de ta punition pour le vol du poulet
- Mais ce n’est pas moi qui…
- Silence, insolent ! Ta punition sera la mort

Frappé d'horreur par le ton froid et détaché de sa tante, Kôsuke ouvrit de grands yeux lorsqu'il vit kondô et ginko gégaîner leurs épées.
Le sang de Kôsuke se figea en sentant la lame de Kondô traverser sa chair, transperçant son bras droit, tranchant les fibres de son muscle, répandant un filet de sang qui s'accroissait rapidement.
La haine qu'il vit dans les yeux de ses bourreaux était indescriptible. Encore une fois... encore une fois il était face à la pourritude de ses semblable... encore ue fois il allait peut-être pedre la vie à cause d'une stupide haine. Encore une fois on ne considérait plus ceux qui étaient différents comem de sêtres vivants, mais comme de simples objts qui ne méritent que la mort. Le sentiment d'injustice, la colère impuissante envahirent l'esprit du jeune garçon, qui était déja dans un état second. Sa vue brouillée par la douleur lui montrait quatre monstres qui n'attendaient que sa mort pour se réjouir de leur acte horrible.
Le temps s'était figé : il pouvait déja voir sa propre mort s'avancer au-devant de lui. Pourquoi... mais POURQUOI ??? Une colère, une haine indiscible montait dans le sein même de Kôsuke.
Lorsqu'il sentit lame remuer dans sa plaie, il vit Ginko qui souriait en voyant Kôsuke hurler de douleur. Il était a comble de la rage, de la peur et de la douleur, lorsqu'il sentit sous ses doigts se matérialiser la garde d'une épée.
Comme pris d'une transe, il s'en empara et se redressa, malgré l'épée qui restait au travers de son bras droit, et décapita d'un geste l'alcoolique.
Alors que la tête de son oncle roulait sur le sol, ruisselante de sang, le reste de la famille prit peur, mais déja Kôsuke fondait sur Misa, et tranchait la jeune fille en deux. Aochi le regarda, et vit que des flammes dansaient dans ses yeux.

C'est un démon. Lança-t-elle avant de s'écrouler, la tête séparée d'un rapide coup de sabre de son corps.

Ils l'attaquèrent tous les sept survivants en même temps. Kôsuke ne bougea pas. Au dernier moment, il effectua une incroyable série de coups extrêmement rapides, tranchant bras, jambes, tête, éclatant leurs os, dans plusieurs jets de sang. Il ne resta plus que le maire et Kôsuke, devant huit cadavres. Kôsuke semblait essoufflé, essouflé par la douleur qui le dévorait, essouflé par la haine qu'il ressentait envers ces hommes qui n'avaient pas hésité à tuer, supprimer une vie.
Il s'approcha du magistrat, et le prit par la gorge. Il pleurait, oui ce jeune homme si fier, terrassé par la douleur morale, pleurait devant le maire. Il le souleva du sol par la gorge d'une main, et le transperça avec rage de son épée, dans la main gauche. La poitrine, le ventre, il s'acharnait sur le pauvre homme comme un fou, comme s'il pouvait évacuer sa soufrance en tuant celui qui avait participer à faire de sa vie un enfer.
Il le lâcha finalement, laissant tomber le cadavre ruisselant de sang, transpercé de part en part, déja mort sous la pluie battante, terminant de se vider de son sang.
Il banda son bras avec un morceau d son vêtement et quitta la ville le jour-même.

Là, dans l'état de désarroi et d'égarement total où il était, un homme, membre mystérieux d'une organisation de l'ombre, vint à sa recontre, et se servit de sa douleur pour orienter son ressentiment vers les ennemis de l'organisation.
Il devint de plus en plus obscur, parlant peu, taciturne, et les pensées plus ipénétrables que jamais. Il apprit à une vitesse fulgurante, et fut bientôt choisi comme membre lors d'une mission de récupération spéciale d'un artefact que briguait l'organisation.
Il dû, avec les autres membres de la petite escouade, combattre une autre secte du culte du dieu Khord, mais lors du combat, il fut gravement blessé, et échoua quelque part dans des landes désertiques.
Il savait, par ses connaissances approfondies sur le territoire terrestre, qu'il devait se trouver quelque part dans le sud du continent où il était né. Il abandonné son cheval, et continua des jours, sans manger, dans ces landse des ténèbres, dont la légende disait qu'elles avaient été maudites lors de la dernière ultime bataille entre forces des dieux. Les atrocités de la guerre avaient alors atteint le sommum de la barbarie, et les magies étaient déja extrêmement mortelles.
Au bout de 3 jours, il s'effondra, prêt à abandonner la vie, lorsqu'une ombre lui apparut et lui tendit la main.

[hrp]La suite de mon histoire, le premier post dépassant lalimite de caractères autorisée.[/hrp]


Relève-toi, Kôsuke. Tu es celui qui a eu le coeur le plus pur que j'ai jamais rencontré... aussi vais-je te faire un présent.

L'entrée d'une caverne profonde se dévoila à ses yeux desséchés. Il ne l'avait pas vue. lorsqu'il se retourna, l'ombre avait disparut.
Il se releva péniblement, l'image toujours présente des êtres qui ont compté pour lui et qui sont morts sans qu'il puisse faire quelque chose, et pénétra dans la caverne. L'atmoshpère froide et humide, ces voix qui résonnaient dans son esprit, on aurait bien dit une crypte. Il traversa de multiples chemins dallés, et arriva enfin à une sorte de dalle de téléportation, placée au centre d'un autel. Sur le rebord du marbre était gravé en symboles antiques une langue qu'il ne comprenait pas. Quelle fut sa stupeur lorsqu'il vit qu'il vit qu'il arrrivait à lire ces runes bizzarres !

Toi qui recherches la puissance, enfant du désespoir, enfant des hommes, toi qui aspire à l'ascension, offre ton sang en sacrifice, et retrouve-moi dans le deuxième ciel.

Cette périphrase ne posa pas de problème à l'esprit aguérri de Kôsuke. Il sortit sa lame, et se transperça volontairement la poitrine avec son épée, et laissa couler le sang qui s'échappait la blessure profonde dans un creux de la pierre, jusqu'à ce que le poids déclencha un mécanisme, qui avala la substance rouge.
Un bruit se fit entendre, sourd et puissant : de la lumière jaillit de l'ouverture, une lumière aveuglante.
Immédiatement, Kôsuke sentit tout son corps se disloquer. Endurant une soufrrance presque insupportable, il ne sombra pas dans la folie car il avait enduré une soufrance pire par le apssé : celle de prdre des êtres chers. Et la souffrance terrible qui l'assaillait n'était rien en comparaison.
Il sentit les serres brûlantes de la vie se disputer les serres plus froides que les enfers, de la mort se disputer son corps, le déchirant, le traversant de part ne part.
Enfin, la lumière s'estompa, et il se retrouva dans une chambre étrange, tapissée de symboles runiques.
Métaphoriquement, elle était censée être le "deuxième ciel". La réponse en était simple :

Toi qui recherches la puissance, enfant du désespoir, enfant des hommes, toi qui aspire à l'ascension, offre ton sang en sacrifice, et retrouve-moi dans le deuxième ciel.

Cela signifiait que celui qui n'avait pas connu l'ultime désepoir serait mort ou devenu fou en endurant la souffrance nécesaire à la téléportation. Il avait donc passé le test : ce qui était renfermé dans cette salle devait à tous les coups être à la fois extraordinaire et terrifiant : quelque chose d'une puissance encore inconnue mais ui nécessite toute la puissance du sentiment le plus terrible : le désespoir.
Une orbe sphérique, brillant d'un magnifique éclat noir, et dégageant une faible aura maléfique se tenait devant Kôsuke. Alors que le jeune homme l'effleurait du bout du doigt, une voix retentit dans sa tête.

Toi qui es parvenu jusqu'ici, tu as connu la plus atroce des souffrances qui ait été donné à l'homme de ressentir. Je te donne ma force, donne-moi ton âme.

Kôsuke ressentit un immense sentiment d'une profonde tristese émaner de l'orbe, comme si elle était vivante. Encore une fois, il s'agissait d'une périphrase. Il ne sagissait pas à proprement parler de "donner son âme" ; l'orbe qui se tenait devant lui avait comme un besoin incroyable d'être près d'une âme humaine...
Kôsuke s'approcha du piédestal sur lequel reposait l'orbe, une main sur la plaie béante de son torse qui saignait abondamment. Il tomba à genoux. Du sang s'échappait par toutes les anfractuosités de l'armure du jeune homme. Il était mourrant. Arrivé si près du but... mais maitnenant il pouvait mourir en paix... Non ! Il devait aller jusqu'au bout. Il rampa, agonisant, pour prendre l'orbe en main, laissant derrière lui une traînée de sang.
L'orbe ne reflétait plus que les flammes dansantes des désolations du chaos.
Kôsuke toucha l'orbe. Il n'y vit que l'imge de sa propre mort. Pour la dernière fois Kôsuke sentit un élan de culpabilité. Pour la dernière fois, il repensa à sa vie passée. Il pensa qu'il avait encore le choix. Il était à l'extrême limite de la raison, cétait sa dernière chance de faire demi-tour et de rejoinre la civilisation. Il pourrait chevaucher vers Meltalas et y offrir ses services à une des nombreuses compagnies mercenaires. Avec un peu de temps et ses compétences, il pourrait y faire fortune et mener une vie aisée. Il attendit un long moment. Qu'est-ce qui aurait pu le retenir ? Il n'y avait plus rien qui puisse le faire revenir sur ses pas. Sa vie était en ruines...
Kôsuke caressa le métal noir du dos de sa main, et empoigna fermement le sceau qui scellait la puissance de l'orbe. Sans un regard en arrière, il le descella. Une effroyable lumière jaillit de l'orbe, puis plus rien... le néant total.
Il se réveilla dans le royaume des morts, devant un homme à l'allure et l'aura imposante. Il lui fit signe de se relever et de le suivre. Sans un mot, Kôsuke avait compris. Il était en train de suivre un des 5 prestigieux seigneurs du monde des morts, les juges de l'enfer. Il le conduisit à une salle dont l'immense et unique porte à deux battants, que le juge déplaça en la contemplant (sûrement de la télékinésie).
Les portes s'ouvrirent sans grincer, ce qui surpris d'autant plus le jeune hoimme qu'il ne vit d'abord pas grand chose. Mais au fur et à mesure que ses yeux s'habituaient à l'obscurité, il put distinguer de hauts piliersde marbre sculptés de bas-reliefs qui soutenaient le plafond.
Monolyhtes de marbre noir, ils se dressaient jusqu'à de grands chapitaux sculptés montrant d'invraisemblables fresques de créatures et de races anciennes ayant existé, et, bien au-dessus, luisait dans l'ombre de la vaste voûte un entrelas d'or mat et d'arabesques multicolores.
On ne voyait dans cette longue et solonelle salle ni tapisserie, ni tentures historiées, ni aucun objet de tissus ou de bois ; mais, entre les piliers se tenaient une compagnie silencieuse de hautes statues de pierre froide.
Kôsuke, au lieu d'avancer craintivement dans la salle, il marcha d'une allure noble et soutenue le long de l'allée bordée de pilliers.
Devant lui, sur un immense trône opposé à la grande porte tout au bout de la salle, trônait une silhouette imposante, tant par son aura écrasante que par son allure.
Sur le flanc droit de la salle, à côté de runes bleues faiblement lumineuses était encastré un gigantesque miroir aux rebords sculptés avec art, et d'un reflet pur comme le vide le plus absolu.
Kôsuke, fils du démon de Sanalia Le champion du chaos se dressa face au miroir afin de contempler sa nouvelle forme physique.
L'image que lui renvoyait le miroir n'avait plus grande ressemblance avec le jeune garçon qui avait quitté Sanalia quelques jours auparavant. Ses cheveux longs noirs étaient devenus blancs comme la mort, ses yeux gris étaient brillants et ardents à la manière du vide, scintillant telles des gemmes, comme brûlant d'un feu intérieur. Son armure était recouverte de runes chaotiques gravées dans le profond métal noir, dont le reflet changeant brillait résolument dans l'obscurité des désolations du chaos. Son épée irradiait une lumière bleutée,et semblait gémir en changeant de forme à chaque mouvement.
Shintiras s'avança jusqu'à un cercle tracé dans la pierre, tira son épée de son fourreau, et la posa, pointe sur le sol, les mains croisées sur la garde, et s'agenouilla devant son nouveau maître...
Maintenant, on peut voir la nuit un jeune homme passer noblement dans l'ombre, cherchant quelque chose qui dépasse la substance, quelque chose qu'il aspire bien à trouver un jour, dans les cieux, ou peut-être... dans l'anéantissement.

Equipements:

Epée de l'anéantissement: Longue et fine lame : le pendant sombre de la personnalité de Kôsuke lame anestrale dont l'origine reste inconnue.

Armure divine de la géhenne: puissante armure noire brillante au reflet noir, terriblement beau, comme une balise scintillante de la mort.

Gantelets tourmenteurs d'Ashura : gants ténébreux dont la richesse des sculptures en relief de l'armure représente la destruction du monde par le dieu de la guerre Ashura.

classe : mercenaire

Techniques:Time condemnation : La puissance de l'énergie spirituelle de Kôsuke crée une distorsion du temps et de l'espace, faisant perdre à l'adversaire la moitié des dégâts qu'il infligera à Kôsuke lors des 3 prochaines attaques physiques qu'il lui portera.

Raïryû no zanbattô : Le jeune homme concentre son énergie dans son sabre, la faisant résonner en harmonie avec la puissance de la sombre lame de ténèbres Yaminotamashii, qui porte un rapide coup de sabre dans une déflagration foudroyante.

Oni no genjutsu, tenge no imashime. L'illusion diabolique : le châtiment de l'enfer. La cible du sort est projetée dans une illusion qui dure quelques secondes, mais qui la plonge mentalement en enfer. La cible est troublée et ne peut plus réagir pendant quelques secondes.

explosion du karma : Le karma de Kôsuke résonne avec son épée, poussant la synchronisation à son degré ultime. La puissance dégagée est alors la puissance du dieu des morts. L'utilisation de cette technique pousse Kôsuke dans ses derniers retranchements.

Nihilisme : Un rayon fonctionnant comme une sorte de trou noir : le mercenaire concentre son énergie spirituelle, la faisant résonner en harmonie avec la puissance d'Atomos, créant une distorsion dans l'espace, générant une zone où la gravité et la force de compression des atomes est à son paroxysme. Toute matière s'approchant de ce rayon anéantisseur est immédiatement gravement endommagée.

Technique ultime :

Daï yami no kuzushi : l'ultime dévastation des ténèbres. La seule foi en la puissance du néant et en sa puissance de destruction de Kôsuke se matérialise en une orbe noire qui se forme autour de lui, grandissant rapidement, pour ne plus faire qu'une explosion de ténèbres.

whaou!! ça c'est de la fiche!!! je te valide, tu le mérites bien!!! c'est quoi ta classe? guerrier, ninja, magicien..etc? que tu reste aps paysans tout le jeu!! XD

welcome

bienvenu, vieux!!

Bienvenue.

Bienvenue. Ta eu beaucoup d'inspiration pour ton histoire !!!

Bienvenue! Et ben, en voilà une folie fiche! Bravo!^^

t'as vu ça??? moi, je suis baba, je dois l'avouer!!

C'est vrai ca en jette

Trouves-toi vite un avatar!^^

bienvenu

O.O! Bienvenue
mais que vois-je? Une superbe fiche de présentation, l'une des plus belles que j'ai pu voir .... Euh... mais, un petit problème (qui l'a validé ?), Tu nous montre pas si tu es gentil, neutre ou méchant...

Oui, c'est vrai! Je viens de voir! Merci de ta remarque Daxter!^^

Et, même s'il a une magnifique fiche (Daxter et sa passion pour les grandes, complètes et magnifiques fiches de présentations XD), il n'a pas vraiment respecter la fiche de présentation initiale du forum...

gomen, gomen!! j'avais carrément zappé.............(non, pas taper!!)

il est méchant..je le fait passer, parce que pour l'instant, l'accès à sa présentation lui est refusé...

Faut regarder des fois... Mais, est ce que vous faites toujours passé des fiches de présentations sans lire? Faut les lire, si vous trouvez une anomalie, une erreur, une technique trop puissante qui tue quelqu'un instentanemment, bah... vous lui demandez d'éditer... Mais est ce que vous les lisez? (Parce que si vous ne lisez rien, on est bon pour revoir toutes les fiches)

Cela risque de prendre du temps

Bon maintenant qu'il y a une deuxième page je peux poster (la première m'est inaccessible, allez savoir pourquoi...)

A tous ceux qui ont apprécié mon histoire : j'en ai des mieux à vous proposer

Et euuh pour mon rang il me esmblait avoir mis "âme sombre" je crois...
Parce-que gentil ou méchant, c'est des termes un peu trop cliché pour mon perso, qui était un garçon tout gentil au départ, et qui a connu ds horreurs monstrueuses dans son enfance, et qui s'est mis à haïr le monde... il s'est tout simplement par la suite enfoncé trop loin dans l'erreur.

Tiens tiens
un parent eloigne de Dark Vador?

Rapport ? oO

Kôsuke a écrit:

qui était un garçon tout gentil au départ, et qui a connu ds horreurs monstrueuses dans son enfance, et qui s'est mis à haïr le monde... il s'est tout simplement par la suite enfoncé trop loin dans l'erreur.

le garcon=anakin

Ah j'y avais pas pensé... (pour ça faudrait déja que je sorte mon porte-monnaie de ma poche et que j'ai le courage d'aller acheter les dvd XD)

Moi j'aurais plutôt comparé à Faust ou à Méphistophélès, mais chaqu'un ses références après tout

C'est vrai

Bienvenue et bon jeu^^