Riovas essayit toujours de faire cesser l’hémorragie, mais la partie n’était pas gagnée…
"Merci... de m'avoir aider... Je ne peux pas mourir... Je le suis déjà..."
Peut être ne pouvez vous pas mourir, mais vous pouvez disparaître, cesser d’exister. Or, je ne le veux pas non plus… En tout cas, merci de m’aider. Mais je suis vraiment désolée de ce qui vous arrive. Je n’aurais pas du vous demander de l’aide.
Elle contnuait de le soigner, mélant sa magie, la magie de la Nature à ses soins. Srill, autour d’eux, guettait le moindre signe de faiblesse de Riovas. Elle la sentait épuisée. Elle le sentait dans ses pattes de velours, dans son dos puissant. Elle s’approcha de Danny. Elle posa sur lui son nez chaud de fatigue. IL s’en sortirait s’était sûr… Il avait des capacités de récupération hors du commun.
La plaie arrêta bientôt de saigner. Riovas s’essaya le front. Elle était fatiguée, paar l’efoort qu’elle avait du faire pour ammener Danny jusque dans son bureau, et l’energie que dépensait Modenaar pour essayer de sortir. Mais la présence de l’ange, ainsi que le sort qu’il avait jeté l’emprisonnait. Le sort n’avait pas réussit, mais il avait réduit l’emprise du démon sur la jeune elfe.
L’hémorragie a cessé Danny… Mais vous ne pourrez pas relever tout de suite… Je suis désolée de devoir vous accueillir sur le tapis, mais ma maison était trop loin pour que je puisse vous y emmener dans l’état dans lequel je suis… Et je n’ai pas assez de force pour utiliser ma Magie pour vous déplacer…Si vous avez besoin de quelque chose pour aténuer la dureté du sol, n’hésitez pas…
Elle alla derrière son bureau, mais s’arreta en plein chemin. Elle se retourna vers l’ange déchu.
J’ai des potions anti-douleur plus puissante que celle que j’ai mis dans vos blessures… Je pense que ça pourrait vous faire le plus grand bien… Dites-moi… je suis mal renseignée sur les races angéliques… comment vous soignez vous lorsque vous êtes blessés ? Je n’ai jamais lu nulle part de chose là-dessus…
Elle alla chercher la potion et s’agenouilla près de Danny. Elle glissa ses genous sous sa tête pour le surélever, pour qu’il puisse boire sans s’étouffer. Srill se coucha tout près de lui comme pour prêter au corps du blessé un pu de sa chaleur animale.